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Éditorial

Publié le 01 oct 2013Lecture 1 min

Une rentrée difficile

A. LAZARUS, Inparys, Rédacteur en chef

La CCAM, nomenclature des actes médicaux qui a succédé à la NGAP, prévoit depuis 2005 des tarifs à la hausse pour la rythmologie interventionnelle, jusque-là sous-évaluée.

Huit ans plus tard, nous restons encore loin de ces tarifs cibles. Effet collatéral de l’avenant n° 8 à la convention médicale, les rythmologues interventionnels subissent au contraire une baisse paradoxale du tarif de nombreux actes, liée à la baisse de valeur des compléments radiologiques « YYYY » entrée en vigueur au 1er juillet 2013, et au maintien du blocage de tarif des actes de rythmologie interventionnelle. Petit lot de consolation, les actes de contrôle de stimulateurs et de défibrillateurs ont évolué positivement vers leur valeur cible, mais en volume financier cela est loin de compenser les baisses.   Certes la crise économique est toujours présente, mais cette situation n’en est pas moins injuste, ce dont la CNAM convient officieusement, et ce scénario inversé ne semble pas près de s’inverser…   A. LAZARUS  

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