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Éditorial

Publié le 01 juin 2015Lecture 1 min

Ouille ouille ouille !

A. LAZARUS

Comme le montrait une enquête Electra faite en 2014, tous les patients et médecins rythmologues ne sont pas égaux dans les conditions de prise en charge de la douleur lors des actes de rythmologie interventionnelle.

Les plus chanceux ont un anesthésiste ou une infirmière anesthésiste à disposition, pour une sédation et une analgésie adaptées, mais ne savent pas toujours ce qui, incolore ou laiteux, circule dans la perfusion. Pour les autres, il faut se débrouiller sans anesthésiste et gérer au mieux l'analgésie en complément de l'acte rythmologique, avec des substances dont on n'est pas nécessairement expert. Tous trouverons dans ce numéro une synthèse permettant de mieux connaître les médicaments utiles afin de pouvoir intervenir plus sereinement, dans l'intérêt des patients et des opérateurs. Bonne lecture. A. LAZARUS  

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