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Éditorial

Publié le 16 déc 2018Lecture 1 min

Les temps changent

Arnaud LAZARUS, CMC Ambroise Paré, Neuilly-sur-Seine

Au début de ma carrière, on arrêtait l'aspirine 10 jours avant une implantation par peur des complications hémorragiques. Bien sûr, on relayait aussi les anti- vitamine K par une héparinothérapie non fractionnée, avec les aléas habituels d'équilibration des doses, à l'origine de surdosages ou sous-dosages.

A ensuite émergé l'idée de stopper les antivitamine K sans relais, puis de les reprendre rapidement, permettant une cinétique plus douce et moins déséquilibrée de l'anticoagulation. Aujourd'hui, on implante les prothèses rythmiques sans interrompre les antivitamine K, en renforçant les précautions hémostatiques peropératoires. La dernière inconnue concerne les anticoagulants oraux directs : après avoir préconisé leur interruption temporaire, on s'achemine là aussi vers leur maintien, sans sur-risque apparent. Les pratiques évoluent... Arnaud LAZARUS Rédacteur en chef

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